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Développeur et expatrié en Thaïlande

Je m’appelle Hugo, 40 ans, quelques poils blancs au menton et surtout, des rêves pleins la tête.

Plus jeune, je rêvais d’expatriation. Eh oui… Quand d’autres aspiraient à être médecin ou pompier, je savais que mon chemin me mènerait hors de la France. Originaire d’un petit village de Sardaigne, j’ai souvent été taxé de lunatique.

Et puis, en 2012, j’ai sauté le pas… À la grande surprise de mon entourage, j’ai souscrit à une assurance santé pour expatrié et ai acheté un billet aller simple. C’était il y a 10 ans et depuis, je peux vous dire que ma vie n’a plus jamais été la même.

Être un expatrié français en Asie

En 2012, j’avais à peine 30 ans. J’avais atteint l’âge où l’on est encore assez jeune pour accomplir des prouesses physiques et suffisamment mature pour éviter les risques inutiles. Forcément, quand j’ai quitté la France, je me suis fait une promesse : ne jamais voyager sans assurances.

Même dans la communauté des nomades digitaux, mon choix en a surpris plus d’un. « Pourquoi ne pas utiliser cet argent pour ton hébergement ? », « tu sais, les risques liés à l’expatriation sont peu nombreux… », etc. Mais au fond de moi, je savais que j’avais fait le bon choix. Par la suite, le temps m’a donné raison.

Je suis développeur. En tant que tel, je conçois des sites web et des applications mobiles pour mes clients. Le gros avantage de ce métier, c’est qu’il me rend complétement libre de mes mouvements. Je n’ai pas besoin d’être enfermé dans un bureau pour exercer ma profession. Et très souvent, mes clients privilégient les échanges virtuels à ceux réels.

C’est grâce à ce métier-passion exceptionnel qu’en 2012, j’ai pu concrétiser mon rêve d’expatriation pour la première fois.

Lors de mon premier voyage, j’ai vécu cinq ans en Asie mineure. Mes pas m’ont conduit à Bali, aux Philippines, en Indonésie et au Myanmar. Après une demi-décennie à bourlinguer, j’ai commencé à souffrir du mal du pays. Eh oui… Même si j’étais un expatrié heureux, la Sardaigne me manquait. Alors, je suis rentré.

Après six mois, ma soif d’évasion est revenue en force. Sauf que cette fois-ci, je suis parti dans une contrée pour le moins fascinante.

Hugo au pays des yokaïs

Pour mon deuxième voyage, je me suis rendu au Japon. Les temples, les forêts de bambous et mon amour des animes ont beaucoup pesé dans la balance. Malheureusement, je n’y suis pas resté aussi longtemps qu’en Asie mineure. En même temps, si vous avez déjà vécu au Japon, vous savez que le coût de la vie y est élevé.

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C’est ainsi qu’après six mois, j’ai poursuivi mon expatriation en Corée du Sud. Et pendant les trois années suivantes, j’ai oscillé entre la Corée du Sud et la Chine. Finalement, fin 2021, avec la pandémie à la COVID-19, je suis revenu en France pour rester aux côtés de mes proches.

Et début 2022, j’ai repris la mer – ou plutôt les airs.

Un séjour en Thaïlande qui a failli tourner au vinaigre

Deux mois après mon emménagement à Bangkok, j’ai été en proie à une migraine exceptionnellement. Expatrié depuis déjà 10 ans, je n’y ai pas prêté attention. Peut-être que mon corps était encore en train de s’ajuster à la vie sous les tropiques…

Avec nonchalance, j’ai pris un Doliprane avant de me coucher. Quand j’ai rouvert les yeux, j’étais en sueur et tremblotant de fièvre. Mon état était si inquiétant que j’ai dû demander l’aide de mon logeur pour me rendre à l’hôpital. Une fois sur place, le diagnostic est tombé : un accès palustre sévère.

Heureusement, j’avais souscrit à une assurance santé pour expatrié avant d’embarquer pour la Thaïlande. Financièrement, je n’ai rien eu à faire. Toutes mes dépenses ont été prises en charge par la compagnie d’assurance. Retrouvez plus d’informations concernant les expatriés en Thaïlande ici.

En tant qu’expatrié de longue date, jusqu’aujourd’hui, je pense que souscrire à une assurance santé est de loin l’une des meilleures décisions qu’il soit. Imaginez un instant si j’avais été livré à moi-même à cet instant précis…

Techniquement, les risques de contracter le palu à Bangkok sont faibles (source : institut pasteur). Et pourtant… Ne prenez pas de risques inutiles avec votre santé. Au moment de réaliser votre expatriation, optez pour une assurance et partez le cœur léger.

Auteur de l’article : Victor

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